Cette recension a été publié sur le site Écologie radicale incivilisée
Les mots, la poésie, donnent sens à la souffrance, à la gaîté, à l'angoisse, à la colère, à la tendresse…
Dormir, c’est rêver. Et rêver, à présent, c’est travailler encore.
La plupart d’entre nous croyons que les congés payés ont été une avancée sociale importante, que les voyages forment la jeunesse, sont source de connaissance et de tolérance, que le tourisme est un « moment de liberté gagnée ou de repos du guerrier mérité. » (page156) La réalité est tout autre.
Dans son dernier essai, L’animal et la mort, Charles Stepanoff identifie le dualisme qu’il pense être au fondement de nos sociétés modernes...
Il s’agit de repenser la reprise de terres, qu’elles soient urbaines ou rurales, à partir de la cuisine, pour reprendre ici la formule de la féministe marxiste révolutionnaire Silvia Federici pour qui le travail ménager est le point zéro de toute révolution
À l’âge de 12 ans, j’ai commencé à remarquer sur mes cuisses des petites boules de graisse qui s’étalaient sur la chaise quand je m’asseyais. Cette vision était le fruit d’un long apprentissage qui s’était effectué en marge de ma scolarité et ne m’avait demandé aucun effort.
Entretien par Francine Sporenda autour des sujets abordés dans le livre Sagesses incivilisées
Ventres à louer, Une critique féministe de la GPA, édité aux éditions l’échappée, est un essai coordonné par Ana-Luana Stoica-Deram et Marie-Josèphe Devillers.