À l'heure où nous écrivons ces lignes, Mila est toujours harcelée et les femmes du CHU de Toulouse luttent contre une fresque pornographique. Cette fresque illustre l'art masculiniste, domesticateur/prédateur/pornographeur/féminicideur, qui érotise la torture et la mise à mort.
« Moi je chasse par amour. » dit l'ancien porte-parole de la Fédération nationale de la chasse, sur Europe 1 le 26 octobre 2018...
« On qualifie d’anti-sexe les critiques du viol, de la pornographie et de la prostitution, sans nuance ni examen, peut-être parce que tant d’hommes utilisent ces ignobles voies d’accès et de domination pour baiser et que, sans elles, le […]