Dormir, c’est rêver. Et rêver, à présent, c’est travailler encore.
« Les Cultistes disaient que, tous les deux mille cinquante ans, Lagash entrait dans une immense caverne, de sorte que tous les soleils disparaissaient, et que le monde était englouti par des ténèbres totales. Et alors, d’après eux, des choses nommées Étoiles apparaissaient, ravissant aux hommes leur âme, et les transformant en brutes dépourvues de raison, de sorte qu’ils détruisaient eux-mêmes la civilisation qu’ils avaient édifiée. »
Les représentations humaines sexuées au Paléolithique récent Article publié dans la revue de la Société Méridionale de Spéléologie et de Préhistoire, n°62, année 2020 et chronique radio de mars 2018. Les « Vénus » : représentations féminines en ronde-bosse C’est en […]
Pour faire suite à mon premier article sur l’imaginaire, voici quelques réflexions sur l’art au Paléolithique et plus particulièrement les représentations pariétales figurées animales. Je traiterai dans un prochain article des représentations humaines au Paléolithique, figurées et sculptées.
Nous avons longtemps vécu dans des environnements que nous partagions avec des prédateurs tels que le loup ou l’ours. Pendant des millénaires, la menace qu’ils représentaient et la fascination qu’ils exerçaient enrichissaient notre univers.
Les nombreuses études conduites pour comprendre l’apparition des inégalités oublient bien souvent d’accorder de l’importance aux techniques liées à l’imaginaire, aux rêves et aux visions.