Dans son essai Aurélien Berlan soutient que le christianisme et le libéralisme sont à l’origine d’une conception de la liberté individuelle qui cherche à se délivrer des contraintes liées à notre condition terrestre. Bien que son analyse soit intéressante, nous avons cependant plusieurs critiques à formuler."
"Dans son ouvrage La condition de l’homme moderne, Arendt distingue trois activités dans ce qu’elle nomme la vita activa : le travail, l’œuvre et l’action."
Chronique radio de décembre 2017 : Avant la figuration Nous pouvons envisager les premiers objets découverts en archéologie et qui témoignent d’un jeu des formes, des couleurs, des matières, comme les premières apparitions d’un souci esthétique. Très tôt, […]
La philosophie de Jung s’inspire de la tradition de l’idéalisme transcendantal, de l'alchimie, de la gnose, de la Kabbale.
"En employant le nom sauvageresse au lieu de nature, j’ai voulu rendre visible les similitudes entre l'exploitation des femmes et l’exploitation de la planète, personnifier la part sauvage qui existe en-dehors de nous et qui nous habite."
Podcast autour du livre Sagesses incivilisées, sous les pavés la sauvageresse
Dans son dernier essai, L’animal et la mort, Charles Stepanoff identifie le dualisme qu’il pense être au fondement de nos sociétés modernes...
L'auteur analyse les politiques de gestion de mobilité des populations pour mettre en lumière l'importance de ces dernières dans l'expansion du capitalisme.
L’anthropocentrisme est une philosophie, une religion, une représentation du monde qui place l’humain adulte mâle, l’Anthropos, au centre de la Sauvageresse et de l’Univers.
"L’importance primordiale de la famille nucléaire, par exemple, est tout autant une question de nature que de culture. En opposant la modalité « grégaire » à la modalité « sociale » j’oppose deux systèmes de vie collective qui renvoient chacun à des propriétés innées de l’humain..."