Il est surprenant qu'à l'heure actuelle certains espèrent encore que les énergies dites "vertes" puissent respecter les conditions de vie terrestre, offrir une vie d'abondance aux humains, restaurer les sols, les océans, les ruisseaux, l'air et la biodiversité. Certains pensent encore qu'elles répondent au souhait de tous les peuples de la Terre qui rêvent de faire fonctionner leurs usines, leurs smartphones, leurs ordinateurs, de couper leurs arbres pour transformer leur horizon en champs d'éoliennes. Pourtant, nombreux sont les articles qui démontrent qu'elles ne sont qu'une gigantesque campagne publicitaire menée par des hommes possédés par le goût du profit et qui se moquent bien de transformer la planète en enfer.
Voici un récit à propos du pire récit jamais raconté. C’est celui que l’on vous raconte s’il a été décidé à votre naissance que vous deviez grandir pour devenir un vrai garçon et, un jour, un vrai homme. Cette décision a été prise à la va vite, après une simple inspection visuelle de votre entre-jambes de nouveau-né. Et personne ne vous a demandé votre avis puisque vous veniez tout juste de naître. Pourtant, cette décision allait déterminer une grande partie de votre vie, peut-être même sa plus grande partie.
Roswitha Scholz est une théoricienne marxienne dont les analyses de l’économie politique renouvellent celles élaborées par le groupe allemand Wertkritik qui se définit comme une critique radicale de la valeur. Un recueil de ses différents articles intitulé Le sexe du capitalisme est publié aux éditions Crise & Critique.
Le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, des amies abolitionnistes du système prostitutionnel ont été insultées, agressées, menacées par des hommes et des femmes qui pensent, croient, hurlent, que la prostitution est un travail et le proxénète un chef d’entreprise. Voici le témoignage de l’une d’entre elles, survivante du système prostitueur
Juché sur des falaises d'un blanc éclatant, s'élève le château au-dessus duquel tournoient des vautours.
J’entends souvent dire que nous vivons dans des sociétés pacifiées et pacifistes, où le culte de la paix est si ancré que toute violence est condamnée, et que le progrès nous a permis d’inventer une société sécurisée et moins violente que par le passé. À bien y réfléchir, il me semble que beaucoup confondent paix et soumission.
Bianca Cendrine Bastiani, dans son roman autobiographique Cendrillon du trottoir, publié chez JDH éditions, retrace sa descente aux enfers dans le milieu de la prostitution, de la pornographie et du BDSM (Bondage, Discipline, Sadisme et Masochisme).
"Nous, peuples autochtones, sommes unis maintenant, mais cela nécessite une unité mondiale, une conscience mondiale. Par conséquent, nous avons parlé d'une "alliance mondiale", une alliance entre les peuples autochtones et d'autres frères non autochtones, conscients que nous devons tous ensemble construire de nouvelles voies."
Je vais utiliser des mots légèrement rudes et durs. Je dois dire, pour ma défense, que tous ces mots viennent de compañeras femmes zapatistes non indigènes. Alors, si ça vous scandalise, eh bien, restez bien calés au fond de vos chaises.