“Sans doute la littérature est elle toute désignée pour déceler dans l’aujourd’hui ces reliques d’hier qui nous hantent, dans l’ici les fantômes d’ailleurs, dans le moi des visages multiples qui nous font autres que nous ne sommes. Sans doute l’est elle aussi pour dire ce qui ne se dit pas, décrire ce qui n’a pas de forme, mais qui s’expérimente au travers d’un sensible enivré de saveurs diffuses, d’intuitions mystérieuses et de souvenirs embrumés. Écrire, c’est s’ouvrir complètement à l’étrangeté du monde, à ce qu’il dissimule sous les fausses évidences ; c’est accepter d’être plongé dans des correspondances qu’on ne peut pas toujours comprendre, et tenter de dire l’inconnu sans en aliéner la beauté.” (Antonin Draille)
Gaueko est une créature de la mythologie basque qui vient la nuit.
Appel à textes et illustrations pour le prochain numéro de la revue naturienne Gaueko :
La ligne éditoriale de la revue Gaueko s’inscrit dans le courant anarcho-primitivisme d’inspiration naturienne.
Nous acceptons des textes de fictions, de la poésie, des illustrations, mais aussi des articles de critique sociale…
Pour les textes : un maximum de 10 000 caractères espace compris.
Illustrations de préférence en noir et blanc.
À envoyer jusqu’au 30 août 2024 à l’adresse suivante :
lesruminants[at]protonmail.com
Les numéros de la revue :
Gaueko n°3
“Sans doute la littérature est elle toute désignée pour déceler dans l’aujourd’hui ces reliques d’hier qui nous hantent,
dans l’ici les fantômes d’ailleurs, dans le moi des visages
multiples qui nous font autres que nous ne sommes. Sans
doute l’est elle aussi pour dire ce qui ne se dit pas, décrire ce qui n’a pas de forme, mais qui s’expérimente au travers d’un sensible enivré de saveurs diffuses, d’intuitions mystérieuses et de souvenirs embrumés. Écrire, c’est s’ouvrir complètement à l’étrangeté du monde, à ce qu’il dissimule sous les fausses évidences ; c’est accepter d’être plongé
dans des correspondances qu’on ne peut pas toujours comprendre, et tenter de dire l’inconnu sans en aliéner la beauté.” (Antonin Draille)
Gaueko n°2
décembre 2019
Gaueko n°1
mars 2019