Ventres à louer, Une critique féministe de la GPA, édité aux éditions l’échappée, est un essai coordonné par Ana-Luana Stoica-Deram et Marie-Josèphe Devillers.
La discussion autour de notre vécu commun de femme et la réappropriation du savoir concernant nos corps sont de puissants moteurs de mobilisation féministe.
Illustration de couverture : Remedios Varo Uranga ___________________________________ Aude Vidal est une féministe écologiste qui a animé la revue L’An 02. Elle est l’autrice de reportages sur les mondes malais, d’essais critiques sur le libéralisme et d’Égologie. Dans […]
Révolutionnaires, publié aux éditions du Commun, est un recueil d’entretiens menés par des femmes nées dans les années 80 et 90 auprès de féministes plus âgées.
L’actualité féministe nord-américaine est marquée par des questionnements internes, notamment quant aux possibilités d’ouverture face à des hommes désireux de s’investir dans cette lutte contre la hiérarchie entre les sexes.
Quelles raisons peuvent mener un homme à se dire proféministe et que peut-il faire pour aider le mouvement féministe ?
La chanson sans peur (« Cancion sin miedo »), ci-dessus, est un hymne féministe écrit par Vivir Quintana, une magnifique apologie des femmes qui se soulèvent au Mexique, des filles de Sonora aux femmes armées du Chiapas, ainsi qu’un vibrant hommage aux nombreuses victimes de viols et de féminicides.
Un préjugé tenace ne cesse d’être colporté concernant la période du Paléolithique...
Les féministes radicales critique une théorie, celle de l’identité de genre, et non des individus. En tant que radicales, nous comprenons que le genre est une oppression mise en place par le patriarcat et qu’il est important de le dissocier du sexe biologique. Nous défendons donc le maintien de groupes non-mixtes dédiés aux femmes, comme de groupes non-mixtes dédiés aux transgenres, aux lesbiennes, aux racisés, aux homosexuels, etc.
La science n’échappe pas aux fluctuations idéologiques difficilement extirpables des contextes sociaux dont elles sont à la fois origine et débouché. L’anthropologie et la préhistoire ne font pas exception. Tout au long des XVIIIe et XIXe siècles, naturalistes et anthropologues instrumentalisent les indigènes qui jouent tour à tour le rôle du chaînon manquant, de l’ignoble sauvage ou, parce que « le moins homme », du noble sauvage.