Dans son essai Aurélien Berlan soutient que le christianisme et le libéralisme sont à l’origine d’une conception de la liberté individuelle qui cherche à se délivrer des contraintes liées à notre condition terrestre. Bien que son analyse soit intéressante, nous avons cependant plusieurs critiques à formuler."
"Dans son ouvrage La condition de l’homme moderne, Arendt distingue trois activités dans ce qu’elle nomme la vita activa : le travail, l’œuvre et l’action."
Chronique radio de décembre 2017 : Avant la figuration Nous pouvons envisager les premiers objets découverts en archéologie et qui témoignent d’un jeu des formes, des couleurs, des matières, comme les premières apparitions d’un souci esthétique. Très tôt, […]
La philosophie de Jung s’inspire de la tradition de l’idéalisme transcendantal, de l'alchimie, de la gnose, de la Kabbale.
L’anthropocentrisme est une philosophie, une religion, une représentation du monde qui place l’humain adulte mâle, l’Anthropos, au centre de la Sauvageresse et de l’Univers.
Un préjugé tenace ne cesse d’être colporté concernant la période du Paléolithique...
Une fiction au service des “vainqueurs” (par Ana Minski) La science est le reflet de la société, et l’archéologie a parfois été utilisée pour alimenter des idéologies totalitaires ou fascistes. Dans Aux origines des civilisations, un documentaire en […]
La civilisation est une culture humaine spécifique née de l’accrétion de techniques autoritaires.
La science n’échappe pas aux fluctuations idéologiques difficilement extirpables des contextes sociaux dont elles sont à la fois origine et débouché. L’anthropologie et la préhistoire ne font pas exception. Tout au long des XVIIIe et XIXe siècles, naturalistes et anthropologues instrumentalisent les indigènes qui jouent tour à tour le rôle du chaînon manquant, de l’ignoble sauvage ou, parce que « le moins homme », du noble sauvage.