Le documentaire Petite fille, récemment diffusé sur Arte et unanimement célébré par les médias de masse, manque cruellement de recul et de critique quant aux conséquences de la prise de bloqueurs de puberté et aux répercussions pour tout être humain de grandir dans une société où l’asymétrie des genres[1]1Le genre est la différence des sexes construite socialement : la femelle humaine assignée au genre féminin, le mâle humain au genre masculin et le féminin toujours inférieur au masculin. façonne notre identité.

Le réalisateur désirait filmer une famille la plus classique possible pour que la majorité des spectateurs puissent s’y reconnaître. Il a donc observé et filmé une famille qui incarne bien l’asymétrie des genres, une des principales oppressions que tout être humain subit de sa naissance à sa mort dans une société patriarcale et qui, tout au long de ce documentaire, n’est jamais remise en cause, questionnée ou simplement soulignée.

Le réalisateur nous donne à voir une mère qui pleure souvent, câline, s’inquiète, culpabilise beaucoup, et un père quasi absent. La mère semble être seule à élever ses quatre enfants pendant que le père assume son rôle de chef de famille. La dévotion de la mère est un parfait modèle pour une société capitaliste qui exploite et bénéficie du travail gratuit de la femme et des mères dans la sphère domestique. C’est d’ailleurs avec ferveur qu’elle accepte sa mission : combattre une société intolérante responsable du mal-être de son enfant. Soulignons au passage qu’il est particulièrement étonnant de constater à quel point les protagonistes – la mère, le père, la sœur et les frères – correspondent par leurs dires, comportements et apparences aux genres que la société assigne aux sexes biologiques.

La mère représente ici la figure maternelle et n’a rien à envier à l’idéal fantasmé par la domination masculine – empathique, émotive, tolérante, douce, vouée entièrement à la cause de son enfant. À plusieurs reprises, elle déclare avoir désiré fortement une fille pendant toute la grossesse. Serait-elle donc responsable du mal-être de Sasha qui n’accepte pas son corps, qui est « dégoûté par son zizi » ? Cette question elle se la pose souvent, peut-être pour répondre à un besoin d’explication a posteriori. À l’école, le directeur n’hésitera d’ailleurs pas à penser qu’elle est en effet coupable. La pédopsychiatre la rassure, non, la dysphorie de genre ne naît pas d’un désir des parents. Il est étonnant de constater que le père n’est jamais impliqué dans l’éventuel mal-être de l’enfant, la mère apparaît donc comme seule responsable et pour certains seule coupable. Seulement, ainsi que le souligne la pédopsychiatre, les parents ne sont effectivement pas omnipotents.

Dans cette société où les enfants appartiennent à leurs parents jusqu’à leurs 18 ans, où ils sont prisonniers de la cellule familiale, idéalement nucléaire, et où c’est au sein de cette cellule que de nombreuses violences et abus prennent place – maltraitance, assassinat, inceste, prostitution – induisant de douloureux traumatismes, les parents ne sont pour autant pas les seuls à participer à la construction de l’identité de l’enfant. Les enfants sont mis en nourrice, à la crèche, à la maternelle, à l’école, enfermés dans des bâtiments, tenus de se tenir sagement assis pendant des heures dans l’attente de la sonnerie d’école où ils pourront discuter avec leurs amis, courir, crier, se chamailler, rire, pleurer, vivre enfin. À la maison, les enfants sont assis devant la télé, scotchés devant des écrans. Quand ils sortent, certains traînent au McDo, d’autres au supermarché où sont étalés « tous ces beaux joujoux » qu’ils voient à la publicité. La mère pleure sur l’enfance difficile de Sasha qui ne peut aller à l’école avec le sac à dos qui lui fait tant envie, avec la robe qui lui fait tant envie. Mais combien d’enfants souhaiteraient tout simplement ne pas aller à l’école si on le leur demandait, si on les autorisait à appréhender leur corps et leurs différences par le jeu et non dans des classes à écouter des heures durant des adultes possédés par leur rôle d’éducateur de la République, ces reproducteurs de l’asservissement moderne ?

Si nous laissions les enfants reconquérir les rues prises en otage par les voitures, les terrains vagues, les espaces publics, peut-être alors auraient-ils une enfance pleine et heureuse, peut-être entraîneraient-ils aussi dans leur sillon les adultes, les libérant des entraves que trop d’années de civilisation ont étiolés et aliénés. Malheureusement, les adultes sont presque toujours de dignes enfants du patriarcat. Il semble ainsi donc évident pour tous qu’enfance rime avec école, cette fameuse école qui refuse que Sasha s’habille selon son souhait et que son apparence physique soit en adéquation avec… avec quoi exactement ? Son cerveau, son cœur féminin ? Cela signifie-t-il qu’il existe un cœur, un cerveau féminin ? Vraiment, nous en serions encore là ? À croire que le rose est la couleur du féminin ? Le rose, peu représenté en peinture, a pourtant d’abord été la couleur des hommes, des aristocrates, des princes, ce rose qui n’a ni genre ni sexe, qui est une couleur comme les autres, aussi belle que le rouge des coquelicots et que le bleu des myosotis. Les robes ont aussi longtemps été portées par des hommes et de nombreux hommes en portent encore chez certains peuples. Bien plus que le rose ou la robe, ce qui ici est catégorisé féminin ce sont les tenues qui sont censées faire rêver les petites filles, les tenues de princesses, des concours de beauté, ces tenues créées par et pour les hommes : les talons, les décolletés, les paillettes, les soutiens-gorges, les gestes éthérés, gracieusement fragiles mais si douloureux à acquérir. Rappelons que la danse classique, que Sasha aimerait tant pratiquer en portant le tutu des filles, « représente un corps éternellement jeune et sain » et qu’endurer « des atteintes à l’intégrité physique participe des réassurances narcissiques nécessaires à l’entretien et au maintien de la vocation de danseur[2]2Pierre-Emmanuel Sorignet, Danser au-delà de la douleur. » Ce n’est pas pour que Sasha porte un tutu que nous devons nous battre mais pour que cesse le fantasme du corps jeune, compétitif, performant qui se cache derrière le port du tutu.

Mais il est vrai que sa mère dit à Sasha : « pour être belle il faut souffrir ». Quelle petite fille n’a pas entendu cette injonction quand sa mère lui tirait fort les cheveux pour l’apprêter ? Nous voyons Sasha habiller et coiffer sa poupée Barbie et déclarer à son amie « je suis plus belle que toi » : la quête de la beauté féminine est la mise en compétition des femmes au vu de satisfaire le plaisir des hommes. Et cette quête de beauté est la malédiction des femmes : « l’homme qui ordonne à la femme de le séduire, pour ensuite l’en châtier[3]3 Françoise d’Eaubonne, Le féminisme ou la mort, Le passager clandestin.. » La beauté féminine – et la féminité en général – est un des piliers du patriarcat et une violence exercée à l’encontre de toutes les femmes.

Parce que Sasha a un zizi, le rose, les robes, les couettes devraient lui être interdits ? Parce que Sasha déclare à quatre ans vouloir être maman, il lui faut subir un traitement chimique ? Pour certains il semble donc plus judicieux de lui faire des injections d’hormones que lui apprendre à gérer ses frustrations ? Un enfant de quatre ans sait-il vraiment ce que signifie « être enceinte » ? Ici encore se manifeste la plus profonde oppression dans laquelle nous sommes tous venus au monde, et ce n’est pas parce que certains s’y adaptent, bon gré mal gré, qu’il nous faut l’accepter sans broncher. Être né avec un zizi ou une vulve ne devrait tenir aucun rôle dans le développement de nos goûts, pour le rose ou le bleu, les robes ou les pantalons. Loin de remettre en question les normes patriarcales de genre, les adultes, forgés par lesdites normes, certifient à Sasha qu’il serait « né dans le mauvais corps ». Dire à un enfant de sept ans qu’il est né dans le mauvais corps n’accentue-t-il pas la dissociation esprit/corps qui alimente le bio-capitalisme et le transhumanisme, idéologie qui est au cœur de l’écocide actuel ? Cette idée nouvelle du « mauvais corps » est de plus en plus avancée pour expliquer le mal-être de certains enfants. Parce qu’il n’accepte pas de se plier au genre masculin tel que défini par le patriarcat, et pour qu’il ne déroge pas à la norme, des bloqueurs de puberté pourrait lui être prescrits, c’est-à-dire un traitement chimique entravant son développement hormonal, interférant avec sa thyroïde. Ainsi donc les perturbateurs endocriniens, si dangereux pour l’avenir de la reproduction de tous les êtres vivants sur terre, sont ici présentés comme quasi-inoffensifs. Il est tout de même brièvement suggéré qu’il faudrait peut-être penser à congeler les testicules de Sacha au cas où – sait-on jamais – il désirait, plus tard, se reproduire. La stérilité, ce n’est en effet pas bien grave. Nous disposons aujourd’hui de banques de spermatozoïdes, d’embryons, d’ovocytes, des mères porteuses, et peut-être disposerons nous bientôt d’utérus artificiels. La technologie, le progrès, c’est magique, il suffit de demander et tous nos rêves deviennent réalité… mais surtout nos cauchemars. Des enfants ayant subi les traitements chimiques préconisés dans ce documentaire en gardent des séquelles, les bloqueurs de puberté ne sont que le début d’un processus chirurgical qui mutile les corps comme en témoigne Keira Bell, une ancienne enfant trans ayant porté plainte contre la clinique de Tavistock, pour lui avoir fait subir, à 16 ans, et sous prétexte de résoudre son mal-être, une double mastectomie, pour les différentes cicatrices et conséquences des traitements qu’elle a subis et qui sont irréversibles.  Parce que « ces traitements impliquent presque systématiquement une myriade d’interventions, notamment l’injection d’hormones puis éventuellement des actes chirurgicaux de réassignation de genre[4]4Tradfem, Dossier trans. » Au Royaume-Uni, il est désormais nécessaire d’obtenir une autorisation du tribunal pour prescrire des bloqueurs de puberté à des enfants de moins de seize ans. De nombreuses recherches suggèrent que les enfants qui présentent un tel comportement se réconcilient avec leur corps quand la puberté s’atténue ou sont plus susceptibles d’être tout simplement attirés par le même sexe. La réassignation chez ces jeunes enfants ne cacherait-elle pas une politique de reconversion de l’homosexualité en hétérosexualité ? Ces mêmes études montrent également que les bloqueurs de puberté exacerbent la dysphorie de genre.

La réassignation de genre dont sont victimes les intersexes et contre laquelle ils se battent serait donc ici acceptable ? Chez un enfant de sept ans ? D’aucuns soutiendront que cela vise à alléger les souffrances et possiblement à éviter le suicide des « enfants trans ». Pourtant, des études récentes révèlent une augmentation des tentatives de suicide chez les enfants qui subissent des injections d’hormones en vue de bloquer la puberté. Rappelons que le suicide chez les enfants de manière générale ne cesse d’augmenter. Comment jouir d’une enfance heureuse dans une société qui, de toutes parts, vire au désastre, dans la société marchande du monde-machine, qui considère le corps comme un ensemble de rouages à modifier selon les désirs de chacun, et surtout selon le désir des lois du marché. C’est de nos désirs, de nos rêves, de nos espoirs, de nos peurs, de nos frustrations que le patriarcat capitaliste se nourrit, et même lorsque le monde vivant et libre s’effondre de toutes parts, il sait en tirer profit.

Il est remarquable que la mère accepte le traitement sans trop se poser de questions tandis que le père — le masculin étant toujours considéré comme la figure de la raison — s’inquiète tout de même un peu des conséquences. Inquiétude à laquelle la mère répond : « Je n’ai pas pensé à demander ». L’important, en effet, c’est l’attestation du médecin qui permettra à Sasha de ne plus être mégenré à l’école, qui lui permettra de porter des robes, des chaussures à talon, des nœuds roses, des colliers, du rouge à lèvres, etc. Les émotions priment ici sur la raison — une illustration de plus du fait que les émotions, la sensibilité, l’empathie, ces qualités dites « féminines » ne constituent pas en elles-mêmes un danger pour le capitalisme[5]5Eva Illouz, Les sentiments du capitalisme, Seuil..

Je me souviens d’une amie qui me racontait, il y a trois ans, que dans l’école où allait sa fille il y avait des porte-manteaux bleus et roses pour que les enfants intègrent le genre que la société patriarcale assigne à leur sexe. Il semblerait que cela soit une des principales inquiétudes de l’éducation, sa fille n’avait alors que quatre ans. L’obsession pour le respect des catégories genrées, si elle n’a jamais quitté le devant de la scène, semble bien revenir en force. Le travail des féministes des années 60, 70, 80, qui nous ont appris à distinguer le genre – féminin/masculin – du sexe – femelle/mâle – remettrait-il trop en cause le patriarcat et le capitalisme pour que celles qui défendent aujourd’hui ce féminisme soit insultées, menacées de viol et de mort ? Les garçons et les filles des années 1980 qui transgressaient les stéréotypes de genre étaient-ils donc, sans le savoir, nés dans le mauvais corps ? Ils acceptaient au contraire leur corps, c’est le regard que certains portent sur eux qui est à changer, pas le corps de ceux qui refusent les codes stéréotypés des genres. Mais les accusations de transphobie sont assénées de manière à empêcher toute tentative de discussion raisonnée et raisonnable sur l’identité de genre et le rejet du corps biologique. N’entendons-nous pas la pédopsychiatre dire à la mère « c’est transphobe » lorsque cette dernière explique que Sasha a été rejeté par les professeures de danse classique ? L’agression commise par les professeures du conservatoire est évidemment condamnable puisque ce qui lui ait reproché c’est de porter un tutu. Du moins c’est ce que le documentaire laisse entendre. Ce rejet semble donc assez violent, d’autant qu’aucune explication n’est donné à Sacha sur, éventuellement, le dimorphisme sexuel entre filles et garçons qui justifient de maintenir dans le sport les catégories selon le sexe biologique. Aucune explication quant au fait qu’il est impossible de changer de sexe, qu’une chirurgie plastique et un traitement hormonal ne le permette pas, aucune explication sur les violences qu’exercent les stéréotypes de genre sur les filles, sur le fait que la misogynie est fondée sur le sexe, aucune explication quant au fait que le corps n’est pas une idée mais une réalité biologique et médicale. Affirmer cela, de nos jours, c’est prendre le risque d’être accusée de transphobie. Accusations qui sont désormais omniprésentes sur le web et dans les milieux militants progressistes. Ces prétendus « transphobes », que certains souhaiteraient voir brûler dans des bûchers, sont majoritairement des féministes et quelques hommes proféministes qui affirment la réalité biologique des sexes, qui osent considérer le transgenrisme comme un enjeu politique, qui refusent de le reléguer à des explications et solutions individualistes, à des thérapeutes et des médecins qui ne comprennent rien de ce qu’ils nomment « dysphorie de genre » — ce qu’admet la pédopsychiatre que la mère de Sasha consulte. Un consensus sur la question de la prise en charge thérapeutique des personnes n’existe pas, et on peut donc utilement s’interroger sur l’existence de données acquises pertinentes sur lesquelles le médecin pourrait s’appuyer pour accompagner son patient présentant ce syndrome[6]6Alain Giami et Lucie Nayak, Controverses dans les prises en charge des situations trans : une ethnographie des conférences médico-scientifiques. .

La nouvelle chasse aux sorcières est tout entière dans ce mot « transphobe » qui exprime la misogynie ancrée aussi bien chez les hommes que les femmes. Au XVe et XVIe siècles, les sorcières étaient très majoritairement des sages-femmes, des veuves, des laides, des ménopausées, des vieilles, des rurales, celles qui ne présentaient plus aucun intérêt pour les hommes : les sages-femmes devaient libérer la place à l’obstétricien et les vieilles et laides n’étaient même plus bonnes à prostituer. De nos jours, il se pourrait bien que les nouvelles sorcières soient les femmes et les quelques hommes qui refusent l’identité de genre, qui refusent que les stéréotypes de genre patriarcaux définissent notre caractère, nos goûts, nos choix, notre place dans la société.

On nous prévient pourtant depuis presque cinquante ans :

« Maintenant, nous ne vivons pas seulement à côté de nos pompes. Mais à côté de notre corps. Complètement à côté. Nous en ignorons tout. Puisqu’il y a des spécialistes pour savoir. Et quand notre corps nous parle par la maladie, nous en sommes surpris, agressés, comme de quelque chose qui viendrait de l’extérieur. Nous ne le sentons pas, nous ne le contrôlons pas, nous ne recherchons pas son équilibre propre. Notre corps ne nous appartient pas. Nous ne vivons pas avec lui, mais sans lui, malgré lui, contre lui[7]7Revue Sorcières : les femmes vives, n° 1 , 1975. »

La crise économique et écologique actuelle réveille les masculinités toxiques, le retour de la femme au foyer en fait rêver plus d’un et plus d’une. Des mères dévouées au mari et à l’élevage des enfants pour nourrir le monde machine aux corps marchandises, à l’heure de la précarisation généralisée qui participe à l’augmentation des violences masculines, voilà qui fait rêver le guerrier des temps modernes.

Infirmières, gestionnaires des crises, prostituées, pornographiées, domestiquées. Les femmes et les enfants sont les premières victimes de cette civilisation et il est urgent de s’inquiéter des accusations que subissent celles et ceux qui osent dire que la biologie existe, qu’être née avec une vulve est la principale cause de l’oppression des femmes, qui s’inquiètent des expérimentations faites sur les enfants, qui affirment que la binarité des sexes en vue de la reproduction n’est pas une naturalisation ou un essentialisme des comportements, mais simplement une réalité indépendante de l’asymétrie des genres qui, elle, est imposée par la domination masculine. C’est contre cela que nous devons nous battre, non contre nos corps. Ces femmes qui reconnaissent la réalité biologique sont certainement trop rurales, elles ont décidément trop les pieds sur terre pour refuser les réassignations chimiques et chirurgicales qui masquent le nouveau visage du patriarcat.

Prescrire aux enfants de la ritaline, des bloqueurs de puberté, ou autre camisole chimique et chirurgicale, ne les aidera pas et ne les libérera pas de ce système mortifère qui traite les humains comme il traite les animaux d’élevage, le sort des uns étant intimement lié au sort des autres. Si nous nous inquiétons vraiment pour le futur de nos enfants et leur bien-être, nous devons dénoncer et nous battre contre cette nouvelle forme d’exploitation et de rejet des corps, déni démiurgique qui creuse toujours plus l’enfer dans lequel nos corps sont soumis, affaiblis, mutilés, robotisés, stérilisés.

Ana Minski

Correction : Lola


References

References
1 1Le genre est la différence des sexes construite socialement : la femelle humaine assignée au genre féminin, le mâle humain au genre masculin et le féminin toujours inférieur au masculin.
2 2Pierre-Emmanuel Sorignet, Danser au-delà de la douleur
3 3 Françoise d’Eaubonne, Le féminisme ou la mort, Le passager clandestin.
4 4Tradfem, Dossier trans
5 5Eva Illouz, Les sentiments du capitalisme, Seuil.
6 6Alain Giami et Lucie Nayak, Controverses dans les prises en charge des situations trans : une ethnographie des conférences médico-scientifiques.
7 7Revue Sorcières : les femmes vives, n° 1 , 1975